1ffffffffffffffffff Archives de la journée d’études : “Formes d’écriture et processus de création”, EnsAD – 29.03.18

Formes d’écriture et processus de création
29 mars 2018
École nationale supérieure des Arts Décoratifs – PSL

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::: Comment rendre compte et analyser des processus de création par de nouvelles formes d’écriture davantage liées aux situations observées ? :::

La matinée, intitulée « Au-delà du texte : Quand les sciences humaines et sociales s’emparent des nouvelles formes de narration », a interrogé comment certaines formes d’écriture artistique (graphisme, bande-dessinée, lm ethnographique, dessin, data visualisation, exposition) viennent inspirer et transformer les pratiques des chercheurs en sciences humaines et sociales.

::: Comment tirer parti des pratiques plastiques qui permettent de construire des nouvelles structures narratives ? :::

L’après-midi, intitulée « Hybridations : Recherches artistiques aux prises avec l’anthropologie » a regroupé des démarches à la croisée de l’art, du design et des sciences sociales, qui emploient des supports et des médias différents pour développer des formes narratives singulières. Celles-ci invitent à des lectures interactives en impliquant davantage le geste et le lecteur.

Cette journée d’études s’est inscrite dans le projet de recherche “Prendre le parti des choses. Publications hybrides sur les processus de création”, dirigé à Ensadlab par Francesca Cozzolino (enseignante-chercheure, Ensadlab/ Lesc) avec la collaboration de Pierre-Olivier Dittmar (maître de conférences, EHESS, Techniques & Culture) et le soutien de l’Université PSL dans le cadre du projet IRIS Création, cognition et société et de la Chaire arts & sciences.

1fffffffffffff Workshop Behavioral Object/Behavioral Matter, EnsadLab – 16, 17, 18.05.18

16,17,18 mai 2018
EnsadLab

Organisé par le groupe de recherche Reflective Interaction d’EnsadLab, ce workshop vise à étendre nos pratiques et conceptions de la robotique en expérimentant simultanément des processus logiciels comportementaux en lien avec des structures matérielles actives et réactives. Ce workshop de recherche et création est basé sur le MisB KIT, environnement de robotique modulaire développé à EnsadLab par une équipe du groupe Reflective Interaction. Des briques logicielles et matérielles seront ainsi interfacées et expérimentées avec le MisB KIT pour produire des objets aux comportements résultant d’une approche croisée entre langage (programme) et matière (structure). Nous travaillons plus spécifiquement sur une brique logiciel-matériel : un module à comportements.

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Avec : Sofian Audry, School of Computing and Information Science / University of Maine, USA, Lorenzo Guiducci, Image Knowledge Gestaltung, An Interdisciplinary Laboratory Cluster of Excellence / Humboldt-Universität zu Berlin et la participation d’Alexandre Pitti | NeuroCybernetics Team ETIS Laboratory / CNRS-Université de Cergy-Pontoise, ainsi que de designers-chercheurs de l’École nationale supérieure de création industrielle et de l’équipe Behavioral Objects du groupe Reflective Interaction / EnsadLab.

 

 

1ffffffffffffffff Soirée : Discontrol Party #3, Cité internationale des arts – 02.02.18

Dispositif festif interactif imaginé par Samuel Bianchini, le projet Discontrol Party fait se rencontrer deux mondes : celui des technologies de surveillance les plus évoluées et celui de la fête. Si ces univers semblent totalement opposés, ils reposent tous deux sur des activités de groupe, voire de foule. Mais le premier, le plus souvent destiné aux espaces publics, se concentre principalement sur les mouvements de foule ordonnés: flux de personnes, ligne ou salle d’attente, plateforme d’embarquement, etc. Les mouvements rapides, désordonnés et parfois fusionnels de la fête sont aux limites de compatibilité avec les dispositifs de surveillance et de contrôle actuels, de plus en plus automatisés: reconnaissance des formes, individus, comportements, traçabilité … En aménageant la piste de danse à la manière d’une salle de contrôle pilotée par des données (vision par ordinateur, caméra infrarouge, détection des visages, identification, géolocalisation indoor, interaction via smartphones, etc) dans un dispositif de surveillance ouvertement visible, Discontrol Party propose un jeu à grande échelle. Les participants, en faisant la fête, sont confrontés à de multiples visualisations du système informatique qui les observe et cherche à analyser leur comportement. Le défi est lancé: la fête peut-elle déjouer le système? Causer la panne? Créer un bug ?

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En provoquant leur confrontation et le dépassement possible d’un monde par l’autre, Discontrol Party vise à déjouer les systèmes de contrôle pour mieux renouer avec les traits primitifs de certains de nos rituels de célébration.

Après une première Discontrol Party au Festival Next en 2009, une seconde à la Gaîté lyrique en 2011, un troisième volet a eu lieu le 2 février 2018 dans le cadre de l’événement « Nous ne sommes pas le nombre que nous croyons être » à la Cité internationale des arts, en lien avec le festival «Faits d’hiver » de micadanses.

Discontrol Party – article dans Libération 30.01.2018

 

Lors de cette Discontrol Party #3, les musiciens invités incarnent différents fragments historiques de l’activisme dancefloor : Candie Hank (Berlin) et ses beats électriques farfelus mutants flirtant avec la musique punk et breakcore ; Rebeka Warrior, chanteuse des duos Sexy Sushi et Mansfield; TYA, prêtresse bizarre de l’amour, de la révolte et de la décadence ; Retrigger, musicien flamboyant de rock brésilien ; Front de Cadeaux, duo militant belge de slow party (a.k.a New Beat) ; Mr Marcaille, un Captain Caveman moderne, dont le spectacle éblouissant lie le death metal et l’actionnisme, ainsi que les fashionistas naturistes WR2OLD qui livrent ici leur première performance live mondiale. Expérimentateurs et provocateurs, leur verve et leur soif de danger incitent les spectateurs à participer à leurs performances énergiques.

 

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Vidéo : Alice Brygo et Thomas Vauthier © EnsAD – Chaire arts et sciences – 2018

workshop : Où suis-je à la Gaîté lyrique du 20 au 22 décembre

Where am I ? Research & Creation Workshop under the direction of Dominique Cunin (EnsadLab / Reflective Interaction). Experimentation of video-mapping and collective interaction with smartphones, La Gaîté lyrique, Paris, december 2017, with the support of the Arts and Sciences Chair of the École polytechnique, École nationale supérieure des Arts Décoratifs and Daniel and Nina Carasso Foundation.
Photo : Samuel Bianchini

À l’occasion d’un partenariat entre la Gaîté lyrique et EnsadLab / SACRe, Dominique Cunin, intervenant dans le groupe de recherche Reflective Interaction d’EnsadLab, pilote un workshop d’expérimentation de vidéo-mapping et d’interactivité collective organisé les 20, 21 et 22 décembre 2017 dans la petite salle noire de la Gaîté lyrique (niveau -1).

Ce workshop d’expérimentation, impliquant l’entreprise Modulo Pi (spécialiste de la gestion multi-flux de vidéo et de vidéo-mapping), permet d’interfacer l’environnement logiciel Mobilizing.js d’EnsadLab et le nouveau logiciel Kinetic de Modulo Pi. Un dispositif d’interaction collective à partir de supports mobiles (smartphones et RFID) est expérimenté pendant les trois journées et donnera lieu à une présentation publique entre 16h et 20h le 22 décembre.
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Contexte du Workshop
Le video-mapping immersif à 360° est mis en relation avec un dispositif d’interactivité collective utilisant les écrans mobiles. Une technologie de géolocalisation en intérieur vient compléter cet ensemble, permettant de situer les utilisateurs des mobiles dans un espace donné et de relier, par l’interaction, les écrans mobiles et la projection vidéo : quelles actions, collectivement effectuées, pour quelles réactions dans l’image immersive ? Un scénario de départ est proposé comme base de réflexion et de conception avec les participants : chaque écran mobile « projette » une ligne sur les murs, tel un niveau laser à une dimension. Cette ligne pourrait être une frontière, un pointeur, un scanner. Les scénarios d’usage (idéalement au nombre de deux) qui seront proposés et mis en œuvre lors de l’atelier porteront des interrogations esthétiques sur les notions de suivi et de désignation dans de tels dispositifs technologiques : mapping, tracking, scanning, pointing… Quelle métaphore pour quelle pensée du collectif et de son action partagée sur un environnement rendu commun ?

Plus d’informations : https://gaite-lyrique.net/ou-suis-je

1fffffffffffff Workshop : Où suis-je à la Gaîté lyrique du 20 au 22 décembre 2017

20-22 décembre 2017
Gaîté Lyrique, Paris
« Où suis-je?  »

À l’occasion d’un partenariat entre la Gaîté lyrique et EnsadLab / SACRe, Dominique Cunin, intervenant dans le groupe de recherche Reflective Interaction d’EnsadLab, pilote un workshop d’expérimentation de vidéo-mapping et d’interactivité collective organisé à la Gaîté lyrique.

Avec le support de la Chaire arts & sciences, de l’École polytechnique, École nationale supérieure des Arts Décoratifs – PSL et la fondation Daniel et Nina Carasso.

Ce workshop d’expérimentation, impliquant l’entreprise Modulo Pi (spécialiste de la gestion multi-flux de vidéo et de vidéo-mapping), permet d’interfacer l’environnement logiciel Mobilizing.js d’EnsadLab et le nouveau logiciel Kinetic de Modulo Pi. Un dispositif d’interaction collective à partir de supports mobiles (smartphones et RFID) est expérimenté pendant les trois journées et donnera lieu à une présentation publique le 22 décembre.

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Contexte du Workshop
Le video-mapping immersif à 360° est mis en relation avec un dispositif d’interactivité collective utilisant les écrans mobiles. Une technologie de géolocalisation en intérieur vient compléter cet ensemble, permettant de situer les utilisateurs des mobiles dans un espace donné et de relier, par l’interaction, les écrans mobiles et la projection vidéo : quelles actions, collectivement effectuées, pour quelles réactions dans l’image immersive ? Un scénario de départ est proposé comme base de réflexion et de conception avec les participants : chaque écran mobile « projette » une ligne sur les murs, tel un niveau laser à une dimension. Cette ligne pourrait être une frontière, un pointeur, un scanner. Les scénarios d’usage (idéalement au nombre de deux) qui seront proposés et mis en œuvre lors de l’atelier porteront des interrogations esthétiques sur les notions de suivi et de désignation dans de tels dispositifs technologiques : mapping, tracking, scanning, pointing… Quelle métaphore pour quelle pensée du collectif et de son action partagée sur un environnement rendu commun ?

Plus d’informations

2fff Colloque : « Après l’homme? » à l’X

Colloque international « Après l’homme? »
30 novembre et 1er décembre 2017
École polytechnique

Michaël Foessel et Pierre Magne sur le thème du transhumanisme et de l’anthropocène.

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Intervenants :
Michaël Foessel (École polytechnique)
Pierre Guenancia (Université de Bourgogne)
Dorian Astor (École polytechnique)
Éliette Pinel (Écolepolytechnique)
Étienne Bimbenet (Université de Bordeaux)
Francis Wolff (ENS Paris)
Alice Leroy (ENS Lyon)
Nicolas Wanlin (École polytechnique)
Hélène Machinal (Université de Brest)
Thomas Schlesser (École polytechnique)
Pierre MAGNE (École polytechnique)
Gabriel DORTHE (Université de Lausanne)

En partenariat avec la Chaire développement durable et le laboratoire LinX.

1ffffffff Soutenance de thèse de Ianis Lallemand, « Matière en acte », 5.12.17, Gaîté Lyrique


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Ianis Lallemand (doctorant SACRe/PSL) en collaboration avec digifabTURINg (Andrea Graziano, Marco Palma)

Matière en acte : les rapports entre conception et matérialité dans la production matérielle numérique

Ianis Lallemand, étudiant-chercheur EnsadLab (laboratoire de recherche de l’École nationale supérieure des Arts Décoratifs) et doctorant SACRe (PSL Research University) a soutenu sa thèse, dirigée par Antoine Picon et Samuel Bianchini le 5 décembre 2017 à la Gaîté Lyrique.

Matière en acte est une thèse de recherche et création en art et design, développée selon une double approche : empirique — concrétisée par la réalisation de projets et d’expériences — et réflexive — prenant la forme d’un travail écrit. La soutenance s’est articulée autour d’une présentation de la recherche, suivie d’un échange avec le jury et de l’exposition d’une sélection de travaux.

Ianis Lallemand est designer, artiste et chercheur. Ses recherches explorent les tensions et convergences entre code, matière et forme, dans le cadre d’une pratique générative de la conception et de la fabrication numériques.
En savoir plus sur Ianis Lallemand

Jury et experts :

  • Samuel Bianchini (Maître de Conférences, École nationale supérieure des Arts Décoratifs, CoDirecteur de thèse)
  • Sophie Fétro (Maître de Conférences, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, Experte)
  • Sara Franceschelli (Maître de Conférences, École normale supérieure de Lyon)
  • Antoine Picon (Directeur de Recherche, École des Ponts ParisTech, Directeur de thèse)
  • Warren Sack (Professeur, Université de Californie à Santa Cruz, Examinateur)
  • Wolfgang Schäffner (Professeur, Université Humboldt de Berlin, Rapporteur)
  • Andrea Urlberger (Maître-Assistant des ENSA, École nationale supérieure d’architecture de Toulouse, Rapporteuse)

Résumé de la thèse
Alors que l’évolution des pratiques de fabrication numérique dans les champs de l’art, de l’architecture et du design semble pointer l’émergence d’une « nouvelle matérialité » marquée par les développements contemporains de la robotique, de la computation et des sciences des matériaux, les discours entourant l’usage des machines à commande numérique restent trop souvent dominés par une compréhension passive de l’idée de matière. Cette thèse se propose d’actualiser la vision des rapports entre conception numérique et matérialité, en développant des schémas productifs ouverts à l’expression de formes d’agentivité matérielle. Cherchant à dépasser l’articulation prescriptive traditionnelle entre conception et fabrication, elle défend l’idée d’une redistribution de l’autorité vers un réseau d’acteurs productifs autonomes. L’argument développé vise avant tout à mettre à jour des méthodologies pratiques ainsi qu’un cadre conceptuel partageables, susceptibles d’être réinvestis par d’autres praticiens. Cinq expérimentations pratiques, reliées par leurs usages prospectifs de la programmation et de la fabrication numérique, en constituent l’ossature empirique. Mobilisant des auteurs comme Gilbert Simondon et Andrew Pickering, le travail de conceptualisation réalisé permet d’opérer un retour réflexif sur ces expériences, et d’en situer les enjeux au regard d’un certain nombre de précédents historiques, tels ceux de la production numérique non standard et de la cybernétique.

Avec le soutien de :

  • EnsadLab, laboratoire de l’École nationale supérieure des Arts Décoratifs – PSL
  • La Chaire « arts et sciences » de l’École Polytechnique, de l’École nationale supérieure des Arts Décoratifs – PSL, et de la Fondation Daniel et Nina Carasso
  • La Gaîté lyrique

2fff Colloque : Praticable – De la participation à l’interaction dans l’art contemporain, 10.10.17, Institut national d’histoire de l’art

10 octobre 2017
Institut national d’histoire de l’art, Paris

Samuel Bianchini -artiste, maître de conférences habilité à diriger des recherches, EnsadLab

Erik Verhagen – maître de conférences habilité à diriger des recherches, Université de Valenciennes et du Hainaut-Cambrésis

 

Avec le soutien de :

EnsadLab, laboratoire de l’École nationale supérieure des Arts Décoratifs – PSL University, Paris ; de la Chaire “arts et sciences” de l’École polytechnique, de l’École nationale supérieure des Arts Décoratifs – PSL, et de la fondation Daniel et Nina Carasso.

Comment concevoir des œuvres d’art réalisées avec l’implication physique de leurs spectateurs, des œuvres à même de provoquer des expériences esthétiques autant que pratiques ? Entre deux registres d’activité a priori opposés, la contemplation et l’usage, comment proposer une troisième voie : celle d’œuvres “praticables”, constituées pour et avec l’action du public ? En s’appuyant sur le récent ouvrage Practicable. « From Participation to Interaction in Contemporary Art » édité chez MIT Press par Samuel Bianchini et Erik Verhagen, une quinzaine de contributeurs – artistes, historiens et théoriciens de l’art – reviendront sur cette problématique aussi bien historique qu’actuelle, de la naissance de la cybernétique aux dispositifs socio-techniques contemporains.

Intervenants :

  • Samuel Bianchini, artiste et maître de conférences habilité à diriger des recherches, École nationale supérieure des Arts Décoratifs – PSL Research University
  • Jean-Louis Boissier, artiste et professeur émérite des universités, université Paris 8
  • Anna Dezeuze, historienne de l’art, enseignante à l’École Supérieure d’Art et de Design Marseille-Méditerranée in Marseille
  • Jean-Paul Fourmentraux , sociologue, professeur des universités, université Aix-Marseille
  • Katrin Gattinger, artiste, maître de conférences, Université de Strasbourg
  • Usman Haque, artiste et designer
  • Emanuele Quinz, historien de l’art et du design, maître de conférences à l’université Paris 8 et à l’École nationale supérieure des Arts Décoratifs – PSL Research University
  • Vanessa Theodoropoulou, historienne de l’art, enseignante à l’École supérieure des beaux-arts de Tours Angers Le Mans
  • Andrea Urlberger, maître de conférences habilitée à diriger des recherches, École nationale supérieure d’architecture de Toulouse
  • Erik Verhagen, historien de l’art, maître de conférences habilité à diriger des recherches à l’Université de Valenciennes et du Hainaut-Cambrésis
  • Peter Weibel, artiste, théoricien et commissaire d’expositions. Directeur du ZKM, Centre d’art et de technologie des médias de Karlsruhe

*Practicable. From Participation to Interaction in Contemporary Art (sous la direction de Samuel Bianchini et Erik Verhagen, Éd. MIT Press, 2016)

Informations pratiques

10 octobre 2017 – 10H-19H

Galerie Colbert, auditorium
Institut national d’histoire de l’art
2, rue Vivienne ou 6 rue des Petits Champs
75002 Paris
entrée libre

1fffffffffffff Enseignement : Summer school « Fluid dynamics for sustainability and environment »

Été 2017
École polytechnique
En partenariat avec l’université de Cambridge (UK)

La Summer School « Fluid dynamics for sustainability and environment » (FDSE) a lieu en alternance à l’université de Cambridge (UK) – années paires – et à l’École polytechnique – années impaires. En 2017, elle a accueilli 47 doctorants de 20 pays différents pendant 15 jours et a intégré pour la première fois un atelier arts & sciences. Les élèves ont travaillé sur le prototype de l’installation « Soleil irrésolu », en travaillant notamment sur la composition sonore.

Découvrir Soleil irrésolu

En partenariat avec la Chaire développement durable et le LabexSIPS.

1fff Colloque : Responsive Matter, au Centre Georges Pompidou. 01.06.2017

1er juin 2017
Journée d’étude Responsive Matter
Centre Georges Pompidou, Paris

  • Samuel Bianchini – artiste, maître de conférences habilité à diriger des recherches, EnsadLab
  • Dominique Peysson – artiste, docteur en sciences et en arts, chercheuse, EnsadLab
  • Emanuele Quinz – historien et théoricien de l’art et du design, maître de conférences, Université Paris 8 et EnsadLab
  • en dialogue avec Marie-Ange Brayer, conservatrice, Design et Prospective industrielle, Centre Pompidou, Paris.

En partenariat avec l’École nationale supérieure des Arts Décoratifs — PSL et l’École polytechnique, et avec le soutien de la Fondation Daniel et Nina Carasso.

 

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L’impression 3D réactualise la notion de forme idéelle ordonnant la matière : elle ne devrait prendre sens que parce qu’elle est informée et se doit de se faire oublier. Mais qu’en est-il aujourd’hui des nouveaux matériaux actifs, réactifs et adaptatifs? Comment concevoir non plus un rapport matière / forme, mais une matière-forme, où la structure interne de la matière devient “matière-grise” ? Une intelligence non pas logique mais matérielle? Comment l’impression 3D peut-
elle se faire impression 4D ? Comment envisager une matière-motrice dotée de comportements animés ou encore une méta-matière aux frontières de l’inerte, du vivant et du vivant artificiel ? En art, en design comme en architecture, en étroit dialogue avec les sciences, comment concevoir et mettre en œuvre de tels matériaux pour des créations dotées de sensibilité, au sens propre comme au sens figuré ?

En savoir plus

 

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Cette journée d’études s’inscrit dans le projet de recherche Responsive Matter d’EnsadLab – le laboratoire de l’École nationale supérieure des Arts Décoratifs (EnsAD, Paris) en collaboration avec le programme SACRe (Sciences, Arts, Création Recherche) et avec le soutien de PSL Research University et de la Chaire arts & sciences de l’École polytechnique, de l’École nationale supérieure des Arts Décoratifs-PSL et de la fondation Daniel et Nina Carasso.